Sélection des épinettes en fonction de leur résistance au charançon du pin blanc


Étude des mécanismes de défense des plantes par induction de lésions artificielles

Étude des mécanismes de défense des plantes par induction de lésions artificielles

David Brescia, Elizabeth Tomlin, Kornelia Lewis et René Alfaro (absent sur la photo) ont infligé artificiellement des lésions à des épinettes afin d'étudier leur production de résine traumatique. De nombreuses espèces de conifères produisent de la résine traumatique pour se défendre contre les insectes et agents phytopathogènes envahissants. 

Induction de lésions artificielles

Induction de lésions artificielles

Chez les arbres à qui des lésions artificielles avaient été infligées, le cambium a produit un anneau de canaux de résine traumatique (CRT) qui sont visibles dans le xylème. Cette technique a depuis été utilisée à l'University of British Columbia pour le criblage des génotypes nordiques d'épinette en fonction de leur résistance au charançon. Lesley Manning, du Centre de foresterie du Pacifique, était responsable des services de microscopie pour cet aspect du projet.

La photographie montre Cheryl Horvath (étudiante coop de l'UVic) travaillant avec John Borden, de la Simon Fraser University

Elizabeth Tomlin, John Borden et des collègues de la Simon Fraser University ont étudié la chimie de la résine traumatique produite par les arbres attaqués par le charançon. La résine traumatique est plus riche en monoterpènes que la résine ordinaire. Elle est par conséquent plus liquide et plus susceptible d'inonder les galeries forées par les larves de charançon. La photographie montre Cheryl Horvath (étudiante coop de l'UVic) travaillant avec John Borden, de la Simon Fraser University.


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