Production de biomasse et régimes des feux

Répartition cumulative selon l’âge des forêts.

Répartitions selon l’âge moyen des forêts sous des cycles des feux de 6 638 (a et b), 1 885 (c et d), 1 064 (e et f), 297 (g et h), et 125 (i et j) ans dans des conditions initiales différentes. Les courbes de la colonne A furent simulées à partir d’un paysage pris au hasard, et les courbes de la colonne B furent simulées à partir d’un paysage réel comprenant une vaste zone de forêts plus âgées.

Séries chronologiques de l’ensemble de données historiques idéales relatives à l’inflammabilité et à la combustion utilisées dans la présente analyse.

Nombre annuel de feux simulés (A), zone brûlée (B) et âge moyen des forêts en années (C) de l’ensemble reproduit de données idéales.

Cycles des feux estimés à partir de différents nombres de cartes des foyers d’incendie et de trois différentes années de départ.

Cycles des feux estimés à partir de cartes basées sur le peuplement à 10 ans d’intervalles par une procédure non linéaire d’adaptation de courbes.

Modes spatiaux de provocation d’incendies en Alberta (1961–1995) : (a) feux causés par la foudre et (b) feux d’origine humaine (la zone grise représente les terrains forestiers).

Effet de l’extinction des feux sur les régimes des feux : (a) cycle des feux, (b) nombres de feux par année, (c) moyenne annuelle des zones brûlées et (d) superficie moyenne des feux.

Effet de l’extinction des feux sur les dynamiques de forêts du point de vue de l’âge moyen des forêts (a et b), volume moyen (c et d), surface moyenne (e et f), accroissement moyen en volume (g et h) et volume moyen brûlé (i et j).

Répartitions selon l’âge des forêts simulées sous différents cycles des feux.

Répartition théorique selon l’âge des forêts.

Mortalité selon l’âge et répartitions stables selon l’âge des forêts.

Les résultats de simulation des répartitions stables selon l’âge (colonne de droite, g-l) sous différentes courbes (colonne de gauche, a-f), y compris des formes constantes (a et g), d’accroissement linéaire (b et h), de diminution linéaire (c et i), de courbes logistiques (d et j)et en dôme (e et k, ainsi que f et l).