Publications du Service canadien des forêts
Effects of supply chain structure and biomass prices on bioenergy feedstock supply. 2016. De Laport, A.V.; Weersin, A.J.; McKenney, D.W. Applied Energy 183:1053-1064.
Année : 2016
Disponible au : Centre de foresterie des Grands Lacs
Numéro de catalogue : 37324
La langue : Anglais
Disponibilité : PDF (demande par courriel)
Disponible sur le site Web de la revue ou du journal. †
DOI : 10.1016/j.apenergy.2016.09.049
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Résumé en langage clair et simple
Cette étude évalue l’approvisionnement en panic raide et miscanthus, en Ontario, au Canada, selon différents prix de la biomasse et différentes structures de chaîne d’approvisionnement, à l’aide d’un modèle économique, biophysique et SIG intégré, pour évaluer les politiques relatives à la bioénergie. Pour la chaîne d’approvisionnement nationale locale, 4 millions de tonnes de production de biomasse mise en balle chaque année deviennent intéressantes à transporter à la centrale de production Nanticoke à 69 $/t. Pour une chaîne d’approvisionnement à plus grande échelle vers Rotterdam sous la forme de granulés agglomérés à la ferme, 20 millions de tonnes de production deviennent intéressantes à environ 198 $/t. Pour une chaîne d’approvisionnement d’exportation avec agglomération aux principaux ports de l’Ontario, 20 millions de tonnes de produits de biomasse mis en balle deviennent intéressantes en vue d’expédition aux ports, avec exportation subséquente des copeaux à Rotterdam, à environ 137 $/t. Les coûts plus élevés de transportation de balle signifient que des terres agricoles plus proches des ports, mais avec des taux de rendement inférieurs, sont préférables au scénario d’agglomération à la ferme. En raison des mesures incitatives visant à faciliter la transition entre les récoltes annuelles et permanentes et une demande réelle de biomasse de la centrale de production de Nanticoke, ce scénario de chaîne d’approvisionnement est plausible. Cependant, les scénarios d’exportation ne sont pas intéressants en raison des restrictions relatives à l’infrastructure de la capacité actuelle de traitement des copeaux, et de la volatilité des marchés internationaux de l’énergie et des matières premières.