Développer des outils moléculaires et un modèle métapopulationnel permettant d’évaluer les impacts à court et à long terme des variétés hybrides sur la diversité génétique des espèces indigènes.
Estimer parallèlement le risque de contamination pollinique entre les AGM et leurs espèces cousines non modifiées grâce à l’estimation du flux génique entre les plantations d’exotiques et les peuplements naturels indigènes chez le Larix etle <>Populus.